Maxime H

 

        joie

 

 

 

 

La peur sous les cocotiers

Bonjour je m'appelle Maurice la chaussette. Je suis un homme très riche. Bon je vais vous raconter mon aventure sur une île, une île que j'ai appelée l'île de la peur vous allez voir pourquoi. Ca s'est passé le 26 Mai 1895. Mon patron m'avait donné 2 mois de congé parce que j'avais travaillé toute l'année sans arrêt. Je cherchais partout pour voir où est-ce que je pourrais aller. Après 5 jours de recherches je trouvais tout juste mon île pour moi tout seul : 50 francs les 2 mois. Je téléphonai tout de suite à l'agence pour vacances. Je tapai : 03 95 65 35 25. Je dis au téléphone: " allô ! C'est Maurice la chaussette. Je voudrais louer votre île pour deux mois." " C'est d'accord, passez cet après midi à trois heures pour nous régler, au revoir". 

Cet après-midi là, j'allais à l'agence. Après en être sorti, j'allai chez moi faire mes valises. Le soir, je pris le bateau pour aller sur l'île. Les deux premiers jours, j'avais du mal à réaliser que j'allais passer les vacances sur cette île. A la fin de première semaine je m'habituais, c'était  normal, j'avais construit une cabane sous les palmiers, des w.c, une machine pour faire de l'électricité. Mais à ce moment j'étais en train de faire une télévision. 

Ah! Oui j'ai oublié de vous dire que mon métier c'est inventeur futuriste. Mais pour alimenter la télé je fabriquai un grand baton de palmier avec une hélice et avec ça, quand le vent soufflait, l'hélice tournait et faisait de l'électricité. Je pouvais alimenter ma télé. Cette machine qui alimente, je l'ai appelée éolienne. 

Le soleil était tellement fort que je me suis fait des lunettes. 

 

 

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SOUS LA MOQUETTE
Deux semaines passèrent et cela recommença
A Paris, dans le 20ème arrondissement, au numéro 35 de la rue du gag, habitait un ancien à moitié chauve . Il avait des cheveux gris, des lunettes noires, un noeud-papillon à sa chemise et il s’appelait Louis Hocdé. Chez lui, il y avait quelque chose sous sa moquette. Deux semaines passèrent et le monstre repartit. Mais il y avait quand même quelque chose de bizarre.
Quelque jours avant que ça commence, il y avait un type qui rodait. Depuis, ça continuait tous les soirs. Louis essayait avec sa chaise de tuer le monstre. Le monstre glissait et il laissait plein de traces mouillées. Ça ressemblait à un animal gluant qui se traînait mais ça n’avait pas de coquille, donc, ça ne pouvait pas être un escargot. Alors il nous restait la sangsue et la limace, mais ça n'aurait pas été aussi gros que ça ! Ou alors c’était une sangsue géante.
Un mois après Louis regarda sous sa moquette et c’était une sangsue géante.
Depuis qu’il a jeté sa sangsue, il n’y a plus rien !il n’y a plus rien !

 

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Ma vie

Ma vie est quelquefois embêtante . Des fois mes parents s’amusent avec moi .Aussi, j’ai un petit frère nommé Cyprien. Il est très gentil mais quelquefois il est embêtant .J’ai des parents très gentils.