Ophéline

 

 

Mes parents et moi

Un jour, mon papa voulait m'apprendre à marcher.

Mais il n'avait pas vu que j'étais nu-pieds, ma maman lui avait dit ; vas lui mettre ses petites chaussures.

Mon papa du coup m'a mis mes petites chaussures.

Après, il voulait me lâcher mais le problème quand il m'a lâché, je suis tombée.

Maman quand elle m'a vu tomber, elle a eu peur.

Elle a dit à mon papa t'es fou de la lâcher comme ça sur le goudron.

Mon papa dit : " OUI mais pourquoi quand on la tient elle marche, et quand on la lâche elle tombe."

Ma maman dit : " mais t'en fait exprès ou quoi, elle n'a qu'un an."

Mon papa dit : "  OUI, je le sais qu'elle n'a qu'un an."

Après mon papa dit :  " tout à l'heure je l'ai fait exprès Ma Chérie."

Un drôle de fantôme

 

 

Il était une fois un monstre dans une rue, il était bizarre. Il ressemblait a un fantôme, je vais vous le décrire :

Il avait les yeux verts, la tête était marron et jaune, les bras rouges sangs, le ventre était de toutes les couleurs, les pieds  noirs, rouges et marrons.

Le monstre faisait peur à tout le monde et en plus c’était un géant, il cassait toutes les maisons du village. Il faisait à tous des gestes bizarres. Après on a pensé que c’était  un sourd et muet. Le village s’appelle le fort fort lointain. Ce village était très très beau. Il y avait plein de gens qui habitaient là- bas mais, tout le monde voulait déménager Les gens n’aimaient pas ce village. Personne ne les comprenait mais moi j’avais compris. Le fantôme monstre arrivaient. Ils avaient tous peur, les enfants aussi. Les mamans à la maternité se demandaient ce que c’était. Le garçon fantôme s’appelle  Mathias et la fille fantôme s’appelle Alice.

Alice et Mathias s’aimaient bien. Et du coup tous les habitants de fort fort lointain étaient  tous partis. Les géants avaient le village pour eux tout seuls. Ils étaient trop trop contents d’être  seuls dans le village de fort fort lointain. Un jour, ils tombaient amoureux. Ils s’aimaient trop. Quatre ans après, ils eurent des jumeaux. Ils étaient débordés. Ils demandaient au voisins quand ils voulaient sortir parce qu’il n’avaient pas de poussette jumeaux.